cinéma de pas art ni essai

Il manquait une rubrique cinéma à ce site. Enfin, une rubrique, c'est vite dit, et puis du cinéma, c'est pas vraiment sûr, je vous laisse donc découvrir des critiques sur des films que seuls des cinémas avec un sens de l'humour très pervers accepteraient de passer.
Ou bien l'été.
D'ailleurs, c'est là que nos deux rubriqueux les ont vu...
tchi tcha !!!!!!!

Prisonnière des Martiens

 non, non, laissez-moi partir !!

les Martiens débarquent sur Terre pour copuler avec nos meufs.

Les Martiens débarquent donc sur Terre ( ils en ont une grosse, je veux dire de soucoupe volante ) pour copuler avec nos meufs et régénerer la race, parce qu'à la suite d'une guerre atomique ( ils nous auront prévenus par la même occasion ) ils ont les gênes complètement pourris et ne procrèent quasiment plus que des gogols. Pour commencer à se faire la main ( si j'ose dire ) ils en enlèvent quelques unes des meufs. Les Terrestres forcèment, ils veulent pas que les Martiens mettent leurs sales pattes et le reste sur et dans leurs meufs ( merde c'est déjà suffisamment dur de se les faire comme çà ) : çà bastonne sec et à la fin, ( mais après beaucoup de dégâts ) on réussit à leur cramer la gueule avé' le nouveau rayon Béta con' et ils rentrent chez eux la queue ( ? je sais pas, on a rien vu ) entre les jambes !		 !
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! par Régis

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mmmmmh, du pop corn...

Mothra contre Godzilla

 attaque mothra, attaque !!

Godzilla, le super-monstre atomique, le méga- King-Kong local ( qui a plus une tête de victime qu'autre chose, dans le fond, mais faut voir la tronche de cake ! ) revient foutre sa zone, ce qui n'a pas l'air de surprendre plus que çà nos amis nippons, à croire qu'il leur fait le coup tous les ans à la même époque.

Assailli par la vaillante armée japonaise qui lui balance quelques malheureux projectiles et des décharges de 30 millions ( oui de millions ! ) de volts dans la gueule sans que çà lui fasse d'effet particulier, Godzilla ( qui ressemblerait un peu à Casimir tiens, mais tout vert ) met ses grosses pattes partout et menace l'oeuf de Mothra, gigantesque lui aussi et arraché par une méga-tempête à l'Ile de l'Enfant ( Casimir, mais c'est bien sûr, je viens de faire le rapprochement ! ), dévastée par les essais nucléaires ( encore ! mais qu'est-ce qu'ils ont, c'est une obsession ?! ) et refuge de quelques indigènes attardés et adorateurs de Mothra, sorte de gigantesque abeille, mais elle très gentille ( enfin en tout cas pas chiante ). Alertée par trois Justes par l'intermédiaire de lilliputiennes chantantes ( ?!?!? : ben ouais, il faut bien que quelqu'un serve d'interprête, vous avez déjà causé à une abeille tchernobylisée vous ? ), Mothra rapplique dard-dard ( c'est drôle ) et utilise ses dernières forces vitales ( elle a largement passé l'âge de la retraite et il faut encore qu'on vienne la faire chier à la veille de sa mort, mais enfin elle est bien contente de savoir où est passé sa future progéniture ) à combattre Godzilla et arracher l'oeuf à la convoitise d'hommes d'affaires verreux qui l'ont raflé pour le faire incuber et construire un parc d'attractions à thème ( n'importe quoi !). Au prix d'un combat épique dont elle ne sort pas vainqueur, Mothra réussit cependant à retarder l'avance de Godzilla, ce qui laisse à l'oeuf le temps d'éclore. Les deux adorables larves ( "oooh, des jumeaux !" ne peut s'empêcher de s'exclamer à cette vue notre héroïne Terrienne femelle, toute attendrie ) qui en sortent achèvent Godzilla en l'emberlificotant dans une espèce de bave qu'elles lui crachent à la gueule ( bouououh, personne ne m'aime ! ) avant de retourner dans leur île pourrie. Godzilla tombe dans la mer, mais est-il bien mort ? Comment remercier Mothra ? En bâtissant un monde meilleur et plus fraternel, bien sûr et si possible sans bombe atomique !

Si les mamans nippones des années 50 menaçaient leur progéniture de faire venir Godzilla si elle ne finissait pas son bol de nouilles, faut pas s'étonner qu'ils en soient arrivés aujourd'hui à ce degré de névrose nos amis faces-de- citron !


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! par Régis

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bis bis !!

Le règne du feu

 pchhhhhhhhhhhhhhhhh, pchhhhhhhhhh, mourrez terriens !!!

Je reviens sur (et de voir) "Le Règne du Feu".
J'avais envie de voir ça.
Pour un amoureux de Pern, voir des dragons, c'est tentant ;-)
Mais, bon, ayant vaguement connaissance du scénar, je craignais le nanar bourrin et m'etais abstenu.

La lecture de la chronique de Pounette m'a convaincu d'aller le voir.
Dans l'ensemble, je n'ai rien à redire sur ce quelle a écrit.
Y a de belles images de bestioles.
C'est zoli, un dragon qui crache, la nuit, le long d'un route ou sur un bâtiment.
Rien à redire, c'est bien fait.
Mais y'a des détails qui gênent le tordu que je suis.
Pour entrer dans une (science) fiction, il faut un minimum de cohérence.
Je passe sur ces braves gens qui arrivent à trouver de l'essence pour leur camions, dans un monde dévasté par les dragons.
Je passe sur les Ricains qui déboulent avec du matériel anglais (Linx et Cheiftain) aprés avoir traversé l'Atlantique, sur deux moteurs, dans un C5 (vous voyer un 747? C'est plus gros) sans doute bourré de mecs et de véhicules, dans un espace aérien dominé par les dragons.
Je passe sur ces feux de joie, avec projecteurs, dans la nuit, qui n'attirent aucunes bestioles ("la nuit, leur vision s'améliore"), dans un monde dominé par les dragons.
Je passe sur l'hélico, qui ne consomme pas du sans plomb 98, et qui réclame, au grand minimum, 1 heure de maintenance par heure de vol, dans un monde où les dragons napalmisent tout ce qui bouge.
Ce qui me laisse franchement dubitatif, c'est la traversée de l'Angleterre, en hélico, peinard (enfin, je le suppose, parce que l'on en voit rien), dans un monde, mais, bordel! que foutent les dragons!
Et je ne parle même pas de l'atterrissage à 300 métres d'une horde de vers, dans un Londres ravagé par les d... et qui ne trouble pas le moins du monde (dévasté par...) ces sympathiques (et fort beaux, il faut le redire) reptiles.

Je me pose une question : serais-je mauvais public?

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! par le SMN

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pfiouuuuuuuuuuu !!!!
Ca vaut vraiment le coup
de claquer 20 euros pour ça...		 Phiip
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